Je dois dire que ces fesses ne m’ont pas laissé de marbre : Aphrodite callipyge.Musée archéologique national de Naples.

Et aussi celle-ci :

  Hermaphrodite endormi  Musée du Louvre, Paris.

VENUS : Pour qualifier de belles fesses, Georges Brassens utilisa le terme « CALLIPYGE » j’ai cherché et trouvé :

« Adjectif. Du grec "Kallos", beauté, et "pugé", fesse.
Se dit d'une statue qui a de belles fesses.
L'expression n'en est pas moins impropre puisque que l'on devrait plutôt parler d’Aphrodite callipyge pour être helléniquement rigoureux.
     Néanmoins, on appelle Vénus callipyge une statue de la déesse de la beauté que l'on vénérait pour la perfection de ses fesses, et non point leur opulence, comme en témoignent la célèbre statue antique de Vénus, trouvée dans la maison dorée de Néron, et actuellement au musée de Naples. (http://marcheo.napolibeniculturali.it/)

HERMAPHRODITE : Le sujet n'a rien de scabreux mais intrigue toujours autant le spectateur.
Étrange mariage en un être bisexué, doté d'un sexe d'homme et des formes voluptueuses et callipyges d'une femme lascivement allongé.

Le sujet reflète le goût pour la nudité alanguie, l'effet de surprise et la théâtralité.
L'œuvre est conçue pour être appréciée en deux temps. D'abord s'impose une gracieuse et sensuelle physionomie qui flatte la féminité du personnage (magnifiée ici par la sinuosité de la position). Ensuite, le revers de la statue crée la surprise en révélant sa nature androgyne, usant du réalisme le plus cru.
Découverte à Rome près des thermes de Dioclétien en 1608 et actuellement au musée  du Louvres à Paris (http://www.louvre.fr/llv/commun/home.jsp)

Merci à : http://louvre-passion.over-blog.com/article-20425123.html

Et un clin d’œil : http://www.paroles.net/chanson/23621.

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